Les associations de protection et notamment la société de protection de animaux (SPA) sont en surcharge quelle que soit la période de l'année. Leurs budgets, assurés uniquement par les dons des particuliers, sont en forte diminution et les difficultés d'obtention de financements s'accumulent.
extrait de la question (réponse du gouvernement)
Question écrite de M. Alain Fouché, sénateur de la Vienne :
M. Alain Fouché attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt au sujet de la protection des animaux en France. Les associations de protection et notamment la société de protection de animaux (SPA) sont en surcharge quelle que soit la période de l'année. Leurs budgets, assurés uniquement par les dons des particuliers, sont en forte diminution et les difficultés d'obtention de financements s'accumulent. Certains animaux, recueillis ou saisis, sont dans un état de maltraitance inqualifiable qui peut être sous forme de blessures, de déshydratation ou de malnutrition importante mettant en cause la survie de l'animal et pour lesquels les vétérinaires sont sollicités de plus en plus. Cette situation engendre des coûts toujours plus importants pour les structures qui les accueillent, surtout quand l'euthanasie n'est pas pratiquée. Des mesures doivent être prises. Aussi il lui demande de bien vouloir lui préciser quelles sont les intentions du Gouvernement à ce sujet.