Question avec demande de réponse écrite à la Commission de l'eurodéputée Aurélia Beigneux :
Le trafic d’animaux de compagnie trouve en partie ses causes dans les principes de libre circulation des biens et des personnes, c’est-à-dire le fondement même de l’Union Européenne.
Il représente aussi une source importante de revenus pour la criminalité organisée.
C’est ainsi qu’ont vu le jour de véritables filières d’élevage de jeunes animaux en mauvaise santé et au destin cruel.
La Commission européenne a-t-elle réellement l’intention de lutter contre cette économie parallèle, étant donné qu’un tel combat sous-entend une remise en cause directe du modèle économique en place?
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