L'entrevue qui s'est déroulée lundi matin entre Claude Garrigue, le président de l'association Chats libres 47, et le maire de la commune, l'écologiste Yvon Ventadoux, a permis de « sortir par le haut de cette situation », dans le cadre de la convention passée entre les deux parties le 18 novembre dernier.
Une convention qui stipule que tout chat errant capturé sera confié à l'association, pour être identifié et stérilisé avant sa remise en liberté, au lieu d'être envoyé au chenil de Caubeyres, comme il était indiqué dans l'arrêté municipal daté du 5 octobre. « Dans le cas où l'association Chats libres serait défaillante, la mairie reprendrait la main », précise Yvon Ventadoux. « Une clarification » qui a pour le moins rassuré Claude Garrigue, qui a reçu au cours du week-end dernier « le soutien (moral et financier) d'autres associations du département comme celles du Quercy », se réjouit le président de Chats libres 47, qui est financièrement « à la rue ».
(extrait de l'article d'André Dossat, Sud-Ouest)
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