Animaux liminaires

Ces 4 villes mènent ou s'engagent à mener des réflexions pour trouver des alternatives aux méthodes létales de gestion des populations de rats (état des lieux 2024)

Personnalités politiques (8)

Photo Anne Hidalgo
Anne Hidalgo Pdte département (75), Maire (75), Conseil de Paris PS
Photo Christophe Najdovski
Christophe Najdovski Élu municipal, délégué à la condition animale (75), Conseil de Paris PS
Photo Sandra Krief
Sandra Krief Élue municipale, déléguée à la condition animale (38) Parti animaliste
Photo Marie-Françoise Hamard
Marie-Françoise Hamard Élue municipale, déléguée à la condition animale (67) SE
Interpellez-la
Photo Gautier Chapuis
Gautier Chapuis Élu municipal, délégué à la condition animale (69) EELV

Partis politiques (2)

Autre réalisation

Municipale

Justification de la note

État des lieux 2024 établi à l'occasion de la Journée mondiale pour la défense des animaux liminaires du 18 juillet, issu du classement L214 « Une ville pour les animaux », sur la base des villes de plus de 50 000 habitants (Insee, pop. légales 2017 (entrée en vigueur au 01/01/20)) ainsi que des villes de moins de 50 000 habitants dont le maire a signé la charte L214 et répond à l'état des lieux de la campagne « Une ville pour les animaux »

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Attentes citoyennes

61%

des Parisiens
sont favorables à ce que la mairie de Paris utilise une solution alternative non létale concernant les rats

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85%

des Parisiens
considèrent que les dispositifs dits «éthiques» comme les pigeonniers respectent le bien-être animal

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