Sur les 64 nichoirs, 55 sont réservés aux mésanges, 3 aux huppes fasciées, 4 aux chouettes hulottes et 2 aux écureuils. « Nous avons accentué l’aide aux mésanges car cette population a besoin de cavités pour nicher. Et il y en a de moins en moins. Dans les années 1960-1970, on a tout bétonné sans tenir compte de la présence en ville de la biodiversité animale et végétale », note, à regrets, Yves Bolnot, administrateur à la Ligue de protection des oiseaux (LPO) de la Nièvre.
(extrait de l'article de Dominique Romeyer, Le Journal du Centre)
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