Justification de la note
Peu agressif mais inquiétant
un véritable cauchemar pour les habitants des littoraux voire des campagnes où s'installent ces animaux, qui semblent proliférer rapidement en raison de leur habitat naturel dégradé et des décharges détruites qui constituaient un refuge pour eux. Il demande s'il existe des moyens de freiner cette prolifération et s'il est possible de déplacer les goélands, protégés depuis 1962
extrait de la question parlementaire de Jean-Jacques candelier
Texte de la question parlementaire de Jean-Jacques candelier, député du Nord :
M. Jean-Jacques Candelier interroge Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur la lutte contre la prolifération des goélands engendrant des nuisances. Cet animal est non seulement responsable de nombreuses nuisances quant à la préservation de petites espèces de mammifères, du fait de sa consommation de lièvres ou perdrix sur le champ cynégétique, mais il est tout autant responsable de nuisances physiques pour la population. En effet, les cris, attaques, vols en piquée et autres désagréments sont un véritable cauchemar pour les habitants des littoraux voire des campagnes où s'installent ces animaux, qui semblent proliférer rapidement en raison de leur habitat naturel dégradé et des décharges détruites qui constituaient un refuge pour eux. Il demande s'il existe des moyens de freiner cette prolifération et s'il est possible de déplacer les goélands, protégés depuis 1962, le plus loin possible des habitations.