Le dispositif accueille surtout des pigeons « biset », qui constituent 90 % de la population des pigeons parisiens. Contrairement aux ramiers, qui nichent dans les arbres, cette espèce introduite par l’homme en milieu urbain fait son nid dans les anfractuosités des bâtiments. Et les dégrade…
L’autre intérêt du pigeonnier contraceptif est de décourager les « nourrisseurs », ces habitants qui sèment graines, mie de pain sur les trottoirs… Une pratique interdite qui fait aussi le bonheur des rongeurs… Une manière habile d’opérer une double communication. A destination à la fois des pourfendeurs de ces « nuisibles » mais aussi envers de leurs protecteurs, puisque certaines villes ont opté pour des méthodes plus radicales de gazage pour endiguer leur prolifération.
(extrait de l'article du Parisien)
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