Un pigeonnier, des nichoirs pour les mésanges, la stérilisation des oeufs de goéland, l'effarouchement des étourneaux. La Ville met en place des mesures pour mieux réguler les espèces.
Seul un oeuf sur dix sera laissé à couver, explique Gérard Granger. Il ne s'agit pas d'exterminer l'espèce. Si elle disparaissait, il y aurait forcément plus de goélands car ils auraient davantage de nourriture.
Pour les étourneaux, le problème se pose à l'automne avec l'arrivée des migrateurs qui rejoignent les 500 à 600 sédentaires. « Les campagnes d'effarouchement sont satisfaisantes, indique le service des espaces verts de Ville.
(extraits de l'article de Françoise Etoubleau, Ouest-France)