Avec ce pigeonnier « contraceptif » érigé au pied de la falaise percée de nombreux nichoirs naturels, la ville espère réguler la population des volatiles qui salissent les toitures, les façades et les trottoirs du centre-ville.
La stérilisation est faite simplement : on secoue l'œuf pendant 3 secondes, on le marque et on le remet dans le nid. Mais on ne stérilise pas tous les œufs : les pigeons auraient vite fait de déserter un endroit qui n'est pas propice à la reproduction. Les pigeonneaux qui naissent sont bagués à leur tour. » L'éradication des pigeons serait une erreur, souligne Thierry Capdegelle : « Ils font partie de l'environnement et la nature a horreur du vide. Sans pigeons, on verrait d'autres oiseaux, comme les choucas, prendre la place.
(extraits de l'article de Sébastien Kerouanton, La Nouvelle République)
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