L’Association demande au gouvernement un nombre de retraits (NDLR, terme choisi qui signifie abattage) suffisant, c’est-à-dire progressant au prorata de la croissance constatée de la population de loups.
Selon Joël Giraud, président de la commission permanente du Conseil national de la Montagne, le staff élyséen a assuré que « l’ensemble des arguments des parlementaires seront pris en compte et que la détresse émanant des territoires est entendue, s’agissant du rééquilibrage des politiques publiques en faveur de l’élevage en montagne
Entre dix-sept maires qui posent écharpes autour du buste fusil à la main, menaçant de braconner eux même le loup si l’Etat ne les entend pas ou l’association nationale des élus de montagne (ANEM) qui, en octobre dernier, lors de son congrès à Forcalquier demande de réviser le statut de protection de l’animal par la directive habitat et la convention de Berne, à l’échelle européenne, les politiques affirment leurs positions.
(extraits de l'article du Dauphiné)
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