Ce qui m’inquiète, c’est que je vois beaucoup de jeunes qui, du coup, ne montent plus les bêtes - de peur de les voir se faire dévorer. On va donc continuer à prélever (à tuer des loups, NDLR) avec beaucoup de vigueur », a promis le président, interrogé notamment par la sénatrice socialiste Frédérique Espagnac et le président de la Chambre d’agriculture des Pyrénées-Atlantiques, Bernard Layre.
(extrait de l'article de Gabriel Blaise, Sud-Ouest)
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