Ce changement terminologique constitue une préoccupation pour les professionnels de la chasse, dans la mesure où cette nouvelle appellation limiterait les motifs de régulation attachés au terme de ''nuisible''.
extrait de la question
Question parlementaire de Francoise Dumas, députée du gard :
Mme Françoise Dumas attire l'attention de M. le ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur la requalification d'animal « nuisible » en animal « déprédateur ». Ce changement terminologique constitue une préoccupation pour les professionnels de la chasse, dans la mesure où cette nouvelle appellation limiterait les motifs de régulation attachés au terme de ''nuisible''. C'est pourquoi elle souhaite connaître les mesures envisagées par son ministère pour soutenir et accompagner les chasseurs dans leurs activités.