L'eurodéputée Annika Bruna demande à la Commission de renforcer dans le cadre de la propagation de la variole du singe la lutte contre le commerce illégal d’animaux sauvages et le braconnage

Question avec demande de réponse écrite à la Commission de l'Eurodéputée Annika Bruna :

La variole du singe, aussi appelée «monkeypox», a déjà infecté des dizaines de personnes en Europe. L’OMS indique que le virus va se propager plus activement.
Cette maladie a pour symptômes des maux de tête, de la fièvre, des douleurs musculaires, un mal de dos, un gonflement des ganglions lymphatiques et souvent des éruptions cutanées. Elle est potentiellement mortelle dans les cas très graves.
Cette zoonose se transmet généralement après contact direct avec le sang, les fluides corporels ou les muqueuses d’un animal malade (singe, rat géant de Gambie ou écureuil). Peu courante en Europe, elle est bien connue en Afrique de l’Ouest. Le premier cas détecté en Europe avait d’ailleurs récemment voyagé au Nigeria.
Mes questions à la Commission sont donc les suivantes:
1. Renforcera-t-elle la lutte contre les pratiques qui favorisent le développement de la variole du singe, telles que le commerce illégal d’animaux sauvages et de viandes de brousse, le braconnage et la déforestation dans les pays tiers?
2. Quelles mesures préconiserait-elle si la variole du singe devenait pandémique?