Je suis candidat à la présidence du bureau d'études chasse et territoire qui sera créé dans quelques semaines à l'Assemblée Nationale. (...) Ma démarche est donc naturelle. En effet, pendant la campagne législative, j'ai signé les 30 propositions pour la chasse du Président de la Fédération nationale des chasseurs, Willy SCHRAEN (...) Chasseur, j'ai conscience qu'il est nécessaire que le monde de la chasse accompagne le mouvement de réformes qui s’exprime aujourd’hui.
(extrait du post Facebook de Grégory Besson-Moreau)
Post Facebook de Grégory Besson-Moreau :
Je suis candidat à la présidence du bureau d'études chasse et territoire qui sera créé dans quelques semaines à l'Assemblée Nationale. Ce bureau d'études est historique et absolument indispensable lorsque l'on connait le nécessaire équilibre entre territoires ruraux et péri-urbains et l'importance d'une chasse durable. Notre première circonscription de l'Aube est directement concernée par ces thématiques.
Le 14 mars 2017, Emmanuel Macron a été l’un des deux seuls candidats à l’élection présidentielle à répondre présent à l’invitation de la Fédération Nationale des Chasseurs lors de son AG à Paris. Devant tous les présidents et les directeurs des fédérations départementales des chasseurs, il a pris des engagements détaillés sur la chasse, l’écologie et la ruralité.
Le 8 avril 2017, il a adressé un courrier personnel à tous les présidents de fédérations départementales des chasseurs pour confirmer ses engagements dont voici l'essentiel :
- La chasse est un acteur incontournable du monde associatif rural, avec ses 75 000 associations locales. Il faut développer ce monde associatif et encourager les bénévoles.
- Respecter les chasses traditionnelles qui sont le reflet des traditions d’un terroir et d’un mode de vie.
- Soutenir l’éducation à l’environnement déjà conduite par les fédérations des chasseurs auprès des enseignants, des académies.
- Stabiliser la réglementation sur les armes de chasse.
- Faciliter l’accès à la chasse avec des règles plus simples et négociées et je pense ici à la nécessité de réduire le coût annuel du permis national.
- Maintenir en l’état du statut de l’animal sauvage mais lutter plus efficacement contre la maltraitance animale.
- Travailler à ce que les chasseurs puissent être représentés dans la gouvernance et les travaux de l’AFB, au même titre que les autres défenseurs de la biodiversité.
- Renforcer la police de la nature.
Ma démarche est donc naturelle. En effet, pendant la campagne législative, j'ai signé les 30 propositions pour la chasse du Président de la Fédération nationale des chasseurs, Willy SCHRAEN que j'ai rencontré ce matin pour lui faire part de ma démarche et échanger. Nous avons eu un échange très amical et particulièrement constructif.
Chasseur, j'ai conscience qu'il est nécessaire que le monde de la chasse accompagne le mouvement de réformes qui s’exprime aujourd’hui. Elle doit être intégrée dans cette dynamique de changement. Il est important qu'elle soit durablement intégrée comme un outil essentiel d’aménagement du territoire, de régulation de la faune sauvage et de gestion de la biodiversité.
Enfin, la cohésion territoriale est intimement liée à ces réflexions. Pour beaucoup, elle tient à la capacité à concilier diversité des territoires et réduction des inégalités entre citoyens liées à l’espace. Comment repérer les facteurs essentiels de la cohésion de nos sociétés, que sont les disparités sociales et la précarité, l’accessibilité aux services d’intérêt général, la participation des citoyens à la vie publique, ou encore la capacité à coopérer et mutualiser des ressources, aux différentes échelles géographiques où ils s’expriment ?
Voilà autant de sujets auxquels nous devrons travailler sans relâche pour proposer des initiatives et créer du progrès pour tous.
GBM
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