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Le FN Haute-Loire soutient des éleveurs réclamant de tirer sur les loups

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le Front National de Haute-Loire apporte son soutien aux éleveurs qui réclament des solutions énergiques pour lutter contre les nuisances du loup "qui ne sauraient cesser par la seule autorisation de tirs d’effarouchement non létaux comme vient de le décider le Préfet", estime Pierre Cheynet, secrétaire départemental du FN43.
extrait de l'article de Zoomdici.fr

Article de Zoomdici.fr :

Attaques de loup en Haute-Loire : la réaction du Front National

Après les attaques de troupeaux survenues les 12 et 13 octobre derniers, le Front National de Haute-Loire apporte son soutien aux éleveurs qui réclament des solutions énergiques pour lutter contre les nuisances du loup "qui ne sauraient cesser par la seule autorisation de tirs d’effarouchement non létaux comme vient de le décider le Préfet", estime Pierre Cheynet, secrétaire départemental du FN43.
L'avis de Pierre Cheynat, secrétaire départemental du Front National : "L’impuissance des services de l’Etat n’est jamais que la conséquence de la politique européenne de protection des espèces validée par tous les gouvernements, à commencer par celui dont dépendait Laurent Wauquiez, qui se trouve dès lors totalement disqualifié pour se plaindre de l’incapacité de l'autorité préfectorale à mettre le loup hors d’état de nuire.

En l’état actuel du droit, la loi ne permet pas aux préfets de faire abattre les loups en raison du statut de protection stricte imposé par l’Union européenne à travers une série de directives hors d’âge et nuisibles à la bonne gestion de la faune sauvage.

Renvoyant dos à dos les discours passéistes des escrologistes d’Europe-écologie-Les Verts et l’absence de solutions des députés UMP prisonniers de leur soutien à l’Union européenne, le Front National propose la négociation d’une nouvelle directive « biodiversité et développement rural » qui assouplisse enfin les règles de protection et de gestion des grands prédateurs. Il souhaite naturellement associer à ce travail les élus locaux et les gestionnaires d’espaces naturels, qui sont les mieux à même de préserver la biodiversité de nos territoires ruraux."

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Soumis par Thierry Lherm

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