Le cerf doit son salut à la mobilisation d’habitants de la commune et du maire, présent sur place, qui se sont opposés à son exécution. «Ça a été chaud, témoigne une habitante, qui a alerté le maire dans la matinée. On devait être plus d’une trentaine. Les chasseurs ont été insultés de tous les noms. Le propriétaire refusait de les laisser entrer chez lui.
(extrait de l'article d'Alexis Bisson, Le Parisien)
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