S'il est un domaine où le principe de précaution doit strictement s'appliquer, c'est bien celui qui touche l'exploitation d'espèces menacées. Cela est vrai pour les baleines, comme ça l'est aussi pour les ours blancs qui ne sont toujours pas inscrits à l'Annexe I de la CITES, alors que leurs effectifs sont au plus bas et que leur habitat ne cesse de se détériorer.
(extrait du courrier de Michel Rocard au ministre de l'Écologie Philippe Martin)