Chaque année, il sera décidé du nombre de loups à abattre en fonction de l’évaluation des risques et de la croissance de la population de loups », déclare le président de la République en rappelant que le quota a été porté de 24 à 36 par an. « Je voudrais également insister sur les sangliers (...) Ils provoquent des accidents, des dégâts aux cultures, aux forêts. Nous devons en tirer les conséquences », ajoute-t-il [dans un entretien au mensuel « Chasseur français »].
(extrait de l'article, AFP/Miguel Medinade, La Dépêche)
Commentez directement sur leurs pages Facebook