14. Abolir les corridas et les combats de coqs.
(mesure n°14 du manifeste AnimalPolitique)
Bien que n'ayant pas répondu explicitement "non" à l'engagement d'abolir les corridas, Benoît Hamon figure dans cette prise de position car il déjà a répondu "oui" sur toutes les autres mesures sauf sur l'engagement 14. Son absence de réponse sur cette mesure peut donc être considérée comme un "non", jusqu'à engagement en faveur de l'abolition. Emmanuel Macron n'a pas répondu sur cette mesure mais s'est déclaré par ailleurs opposé à l'abolition des corridas.
Bien que n'ayant pas répondu aux propositions du Manifeste, François Fillon figure dans cette prise de position car s'étant exprimé en faveur des corridas.
Réponse de Jean-Luc Mélenchon :
Il existe aujourd’hui un cadre légal restrictif concernant les corridas, qui ne les autorise que dans les villes et les régions où elle est une tradition culturelle ininterrompue. Au regard de la restriction géographique quant à la légalité d’organisation de corridas, qu’a confirmé le conseil constitutionnel, il ne serait pas légitime d’organiser un débat parlementaire sur ce sujet. Il nous semble par ailleurs que l’Assemblée a de nombreux autres sujets à connaître. Enfin, il est plus logique de laisser les collectivités locales concernées traiter de cette question.
Réponse de Marine Le Pen :
Je n’abolirai pas les corridas mais je pose cependant deux nouveaux principes : je ferai voter une loi afin d’interdire l’accès aux corridas aux moins de 16 ans et je suis tout à fait favorable à l’ouverture d’un grand débat parlementaire sur la corrida afin que chacun, opposant et défenseur, puisse exprimer son opinion.
Je suis tout à fait favorable à l’abolition définitive des combats de coqs.
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