Justification de la note
Positif mais pas assez ambitieux
Certains pays de sa circonscription, à l'instar du Royaume-uni et de la Norvège, ont interdit les parcs à dauphins sur leur territoire. [...] Il aimerait savoir s'il est légitime de garder ces animaux dans ces conditions et s'il n'est pas préférable de limiter ces spectacles pour renforcer les activités liées à l'éducation à l'environnement aquatique.
(extrait de la question)
(voir la réponse du Gouvernement)
Question parlementaire de Christophe Premat, député des Français établis hors de France :
M. Christophe Premat attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur les conditions de captivité des cétacés dans certains parcs aquatiques en France (Marineland à Antibes, parc Astérix, parc zoologique Planète sauvage). Depuis quelques années, les conditions de vie des orques dans ces parcs ont été l'objet de nombreux débats, rendus célèbres par le documentaire Blackfish de la réalisatrice Gabriela Cowperthwaite diffusé sur Arte le 29 juin 2014. Ce documentaire présentait les conditions de captivité de l'orque qui a fait trois victimes au parc Seaworld d'Orlando le 24 février 2010. Certains pays de sa circonscription, à l'instar du Royaume-uni et de la Norvège, ont interdit les parcs à dauphins sur leur territoire. Les parcs aquatiques sont des lieux fréquentés par des familles et gagneraient à devenir des espaces privilégiés pour une éducation à l'environnement aquatique. Il aimerait savoir s'il est légitime de garder ces animaux dans ces conditions et s'il n'est pas préférable de limiter ces spectacles pour renforcer les activités liées à l'éducation à l'environnement aquatique.