La loi crée de nouveaux outils concrétisant les trames verte et bleue et, l'une des mesures les plus symboliques, une Agence française pour la biodiversité. Elle interdit aussi les pesticides néonicotinoïdes, tueurs d'abeilles, bannit la chasse à la glu ou le déterrage de blaireaux. Point sensible, les blocages : comme le trop polémique article visant à créer un statut d'animal sauvage, retiré du texte. « Ou encore les mesures visant la pêche en eau profonde ou encore les delphinariums, des non-sens écologiques ! » s'emporte la députée, parée à l'offensive pour le second round à l'Assemblée.
extrait de l'article de La Nouvelle République (Jean Rouziès)