Dans une société comme la nôtre, déjà très violente, a-t-on besoin d’un spectacle basé sur le sang et la mise à mort ? Cela me gêne qu’on puisse emmener des enfants assister à une telle manifestation de cruauté envers les animaux de manière légale. Et je suis aussi gênée que de l’argent public soit investi dans ce genre de chose [...] en y regardant de plus près, on voit que c’est purement et simplement une mise en scène de la cruauté pour satisfaire les instincts primaires.
extrait de l'interview de Geneviève Gaillard dans Libération