Quand on est ami des chats ou des petits chiens à Neuilly, on peut ne pas aimer la corrida. Mais laissez-nous tranquille. On apporte quelque chose. Et si on ne défend pas cette culture tauromachique, c’est ça ou ça sera la loi de la mondialisation, alors on mangera tous des hamburgers, on parlera tous anglais. (...) Mais sur ce thème «Non à la mondialisation, non à l’uniformisation», ce que nous défendons avec la tauromachie, c’est la liberté. Et moi je veux que mes enfants et mes petits-enfants, qui ont chacun leur petite cape, je ne les pousse pas mais enfin un petit peu quand même, apprennent la beauté de cet art et puis après ils feront ce qu’ils veulent.
(extrait des actes du colloque «L’HOMME ET LES ANIMAUX : vers un conflit de civilisations ?», organisé par l’ONCT avec le soutien de l’UVTF au Palais du Luxembourg le 4 octobre 2016)