Monsieur,
C’est avec intérêt et une attention toute particulière que j’ai pris connaissance de votre courrier relatif à la proposition de loi visant à interdire les souffrances infligées aux taureaux dans le cadre des corridas.
Culture ou tradition ancestrale pour les uns, spectacle choquant pour les autres, la corrida n'en finit pas d’exacerber les passions. L’opinion de chacun sur cette question repose sur des motivations très personnelles.
C’est pourquoi je trouve vos idées parfaitement respectables, même si je ne les partage pas, et je juge normal que vous puissiez les exprimer et les défendre.
C’est pourquoi, pour des raisons tout aussi personnelles, je ne souhaite pas m’associer à la proposition de loi de Madame MARLAND-MILITELLO, députée des Alpes-Maritimes.
Demeurant attentif à cette question, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de ma
considération distinguée.
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