Cher Monsieur,
J'ai bien reçu votre courrier du 6 août dernier, par lequel vous avez bien voulu attirer mon attention sur la proposition de loi de Madame Geneviève GAILLARD, députée socialiste des Deux-Sèvres, visant à supprimer toute exception a la punition des sévices graves envers les animaux domestiques, apprivoisés ou tenus en captivité.
Étant membre du groupe UMP, je n'ai pas été sollicité par Madame GAILLARD pour cosigner cette proposition de loi, dont l'objectif est d'interdire les corridas.
Ma collègue Muriel MARLAND-MILITELLO, députée UMP des Alpes-Maritimes, a déposé un texte similaire à l'Assemblée nationale.
Pour ma part, je ne suis pas favorable à cette initiative.
Telles sont les précisions qu'il m'a paru utile de vous apporter.
Restant à votre disposition,
je vous prie d'agréer, Chère Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.