Madame,
J'ai bien reçu votre courrier du 10 août dernier que j'ai lu avec intérêt.
Bien que je ne partage pas totalement votre analyse, sachez que je serai attentif aux suites qui seront apportées à la proposition de loi déposée par Madame MARLAND-MILITELLO et visant à interdire tous les sévices graves envers les animaux domestiques ou apprivoisés, ou tenus en captivité, susceptibles d'être exercés lorsqu'une tradition locale ininterrompue peut être invoquée.
Restant à votre écoute,
Je vous prie de croire, Madame, à l'assurance de ma considération distinguée.