le divertissement ici programmé consiste à arracher le cou d'un canard mort. (...) Inventée au Moyen Âge, la compétition originelle [consistait] à tendre un câble horizontal à hauteur du couple cheval-cavalier. Puis à y suspendre une oie vivante, liée par les pattes. Sur son fidèle destrier, au galop, le joueur [devait] alors arracher le cou de la bête, symbole d'un mauvais œil à conjurer. (...) Depuis [1984] , l'oiseau est (...) assommé et zigouillé, avant de rejoindre la corde à linge. (...) « Pour les tuer, (...) soit on les noie, soit on leur ouvre la bouche pour leur fourrer un couteau dedans.
(extrait de l'article de Thomas Villepreux, Sud-Ouest)
Le "jeu de l'oie" se pratiquerait aussi à Souraïde, Sare, Saint-Pée-sur-Nivelle, Espelette, Biriatou et Behobie selon le président du comité des "fêtes" de Cambo-les-bains.