Si Arlette Gruss est décédée en janvier 2006, sa légende perdure au cœur du chapiteau rouge et blanc de 2700 m2, véritable "cathédrale" où émotion et performance s'entremêlent. (...) Les nouveautés artistiques en mettront plein la vue, entre les prouesses de "l'homme-araignée" et le ballet des fauves, éléphants, et autres chevaux.
(extrait de l'article de Nice-matin)
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