il ne faut pas mésestimer sa portée symbolique [...] il s’agit d’un premier pas vers une meilleure prise en compte des droits des animaux, et surtout de leur protection.
extrait de l'article
Article de Roger Madec :
Les animaux reconnus comme « êtres sensibles »
Je me félicite de l’adoption par l’Assemblée, à la mi-avril, d’un amendement reconnaissant les animaux non plus comme des biens meubles, mais comme des « êtres vivants doués de sensibilité ». Si cette distinction permet avant tout de clore un hiatus législatif entre le Code Civil et le Code Pénal, il ne faut pas mésestimer sa portée symbolique.
Je considère qu’il s’agit d’un premier pas vers une meilleure prise en compte des droits des animaux, et surtout de leur protection. Nous devons progresser dans la lutte contre la souffrance animale, en définissant de manière claire des limites pour éradiquer les conduites cruelles ou choquantes.