5. Faire évoluer les politiques alimentaires et agricoles par une meilleure prise en compte des animaux et de leur bien-être (étiquetage des modes d’élevage et d’abattage, alternatives végétales, ...), conditionner la signature de traités de libre échange (TAFTA, CETA...) à l’adoption de clauses en faveur de la protection animale.
(mesure n°5 du manifeste AnimalPolitique)
Marine Le Pen s'est exprimée sur la mesure n°5 sans évoquer les alternatives végétales :
Transformer la Politique Agricole Commune en Politique Agricole Française (avec le même montant de subventions pour nos agriculteurs) permettra aux éleveurs d’avancer sur la question du bien-être animal. En effet, les critères ne seront plus définis par des technocrates bruxellois déconnectés mais par nos politiques pour avantager nos agriculteurs et pour favoriser encore plus ceux qui font progresser le bien-être animal.
Je refuserai par ailleurs la ratification des traités de libre échange (TAFTA, CETA…) car ils sont mortifères pour notre agriculture et portent atteinte au bien-être animal.
Emmanuel Macron s'est exprimée sur la mesure n°5 sans évoquer les alternatives végétales :
Le plan de transformation agricole de 5Mds€ sur le quinquennat permettra les investissements nécessaires à la modernisation des élevages ayant un impact positif sur l’environnement et le bien-être animal.
D’ici à 2022, l’ensemble de la restauration collective – les cantines des écoles et les restaurants d’entreprise – devra proposer au moins 50% de produits biologiques, labels de qualité, ou local.
Cet objectif ambitieux sera accompagné du renforcement du contrôle des labels, notamment sur les élevages.
Quant aux traités de libre-échange, ils doivent être négociés avec le souci, en matière d’élevage, de ne pas exposer les éleveurs français à la concurrence déloyale d’agriculteurs pratiquant un modèle intensif, peu sûr en termes de qualité, de santé, et assurément oublieux du bien-être animal et de l’environnement
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