Cédric Villani rappelle aux députés qu' «entre les comportements cognitifs des humains et des animaux, beaucoup de barrières sont tombées, au fur et à mesure des recherches»
Dans notre distinction entre les comportements cognitifs des humains et des animaux, beaucoup de barrières sont tombées, au fur et à mesure des recherches.
Intervention de Cédric Villani :
Pour certains de nos concitoyens, c’est simplement une question d’empathie : on reconnaît en l’animal quelque chose de proche, et de plus en plus proche au fur et à mesure que les années passent. Dans notre distinction entre les comportements cognitifs des humains et des animaux, beaucoup de barrières sont tombées, au fur et à mesure des recherches. On en vient à se dire que, même si l’on s’autorise à prélever la vie des autres animaux sensibles, on doit le faire en leur portant un grand respect, tout autant dans leur vie que dans leur mort.
L’un de nos collègues a ainsi évoqué tout à l’heure le besoin de traiter l’abattage avec le moins de souffrances possible.
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