Justification de la note
En ayant très bien identifié le levier de la végétalisation de l'alimentation, la ville pourrait aller plus loin dans ses actes en proposant deux journées végétariennes hebdomadaires et/ou une option végétarienne quotidienne dans ses restaurants scolaires, par exemples.
Action #3 Adopter une alimentation saine et de qualité en circuits courts
Manger des aliments de saison, moins carnés et issus d'une agriculture locale a un impact considérable dans la réduction de notre empreinte carbone. Quelques conseils pour s'y mettre !
Le saviez-vous ?
La production d’un kg de viande émet 5 à 10 fois plus de GES qu’un kg de céréales ! (Source : Ademe)
PenserGlobal : Le coût environnemental de notre assiette
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D’après le convertisseur CO2 de l’ADEME, émettre 2 tonnes de CO2 (soit ce qu’on devrait émettre en une année pour répondre aux objectifs de l’Accord de Paris) correspond à 300 repas carnés. Ces 300 repas avec de la viande correspondent en termes d’émissions carbone à 2000 repas végétariens.
IssyAgit : Vers une restauration scolaire exemplaire
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Par ailleurs, le conseil municipal a décidé d'un repas végétarien une fois par semaine (au lieu de deux par mois jusque-là), ou encore l'utilisation de barquettes totalement végétales et de bavoirs en tissus. La réduction des grammages des repas, couplée à des temps de sensibilisation constituent également des actions fortes en faveur de la réduction du gaspillage alimentaire.
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Je mange moins de viande et de poisson, mais mieux
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11. Je privilégie des aliments protéinés d’origine végétale : les lentilles, les haricots rouges, les noix, les pois-chiche, l’épeautre, le quinoa
(Extraits du site de la ville d'Issy-les-Moulineaux)
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