Les mêmes modifications s’appliquent aux vaches laitières. Le régime d’autorisation n’est applicable que si le cheptel est supérieur à 400 animaux. Le régime de déclaration est aussi modifié pour les élevages de volailles et gibier à plumes. (...) Le code de l’environnement est aussi transformé puisque les exploitants n’ont plus l’obligation de se soumettre à un contrôle périodique effectué par un organisme agréé par l’État.
(extrait de l'article de Marie Baton, La France Agricole)