Marie-Hélène Aubert, responsable du pôle Environnement, Développement durable et Energie et Maud Lelièvre, Déléguée à la biodiversité, ont répondu pour François Hollande au questionnaire de Néoplanète et de L214 Ethique et Animaux.
Extraits :
Le bien-être animal, qu’il s’agisse des conditions d’élevage, d’abattage ou encore de la protection des espèces menacées, doit, de ce fait, faire l’objet de fortes et ambitieuses mesures que le candidat socialiste s’engage à mettre en œuvre si les Français lui accordent leur confiance en mai prochain.
L’échelon communautaire est, à l’évidence, le plus pertinent pour impulser ces politiques, mais est aussi très cohérent à l’heure où les échanges commerciaux impliquant du bétail sont devenus transnationaux. Aussi, il nous paraît intéressant de faire écho à la déclaration écrite du Parlement européen qui limite à 8 heures la durée de transport des animaux destinés à l'abattage, en encadrant strictement cette activité de sorte à assurer que cette activité soit davantage respectueuse des animaux. Par ailleurs, nous nous engageons bien évidemment à respecter la règlementation européenne relative au bien-être animal dans son ensemble.
A la Fondation 30 millions d'amis, il répond :
Dans mes 60 engagements pour la France, j’ai dit que j’encouragerai la promotion de nouveaux modèles de production et d’agriculture biologique.
Il est en effet impératif de développer une agriculture durable respectueuse des hommes et du monde vivant. A ce titre, je m’engage fermement au respect des règles du bien-être animal qui ne doivent pas être considérées comme des contraintes mais comme un atout en matière sanitaire.
Ces nouveaux modes de production sont les garants de la qualité des produits dont souhaitent bénéficier les consommateurs, mais également du respect des animaux à tous les stades, de l’élevage jusqu’à l’abattage, en passant par le transport.
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