Ce qu’il faut mettre en cause, c’est le modèle de marché, le modèle européen et de l’agriculture industrielle qui martyrise les animaux, détruit la santé des paysans, les sols, l’eau et l’air. (...) Les protéines carnées, ça a une limite. Il est normal, compte tenu de l’étroitesse des salaires, que les gens aillent au moins cher. Les protéines végétales seraient les bienvenues. C’est une affaire de mode, de goût. Il faut changer nos mœurs.
(extrait des propos recueillis par Michel Urvoy, Ouest-France)
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