Pour le Trèfle, le commerce de la fourrure doit être purement et simplement interdit, le piégeage, l’élevage des animaux, puis leur dépeçage relèvent de pratiques cruelles.
Les amateurs de manteaux, écharpes et autres vestes peuvent parfaitement trouver une solution alternative avec les fausses fourrures synthétiques, aujourd’hui plus vraies que nature.
(extrait du programme)
Article du Trèfle :
Fourrure
Non à la Fourrure
Pour le Trèfle, le commerce de la fourrure doit être purement et simplement interdit, le piégeage, l’élevage des animaux, puis leur dépeçage relèvent de pratiques cruelles.
La fourrure, cruel marché
Savez-vous qu’une fois piégé pour sa simple fourrure, écorché et entièrement dépecé, un animal peut encore survivre dix minutes ? La cruauté qui amène à tuer des chinchillas, des écureuils, des hermines et toutes sortes d’espèces pour l’industrie du luxe est sans nom. Même dans les élevages, qui représentent aujourd’hui 85 % du commerce mondial de la fourrure (visons, renards…), les conditions de détention et d’abattage relèvent souvent de pratiques cruelles. Même les espèces protégées comme le lynx et le loup ne sont pas épargnées. Sans compter les fourrures de… chiens et de chats retrouvées chez certains professionnels, y compris en France !
Interdire la fourrure
Nous ne sommes plus à l’ère préhistorique, où l’homme avait besoin des peaux de bêtes pour se vêtir ! Le Trèfle prône l’interdiction pure et simple du commerce de la fourrure. Torturer et tuer de manière abjecte des animaux pour la seule beauté de leur poil est une pratique d’un autre âge, quand bien même certains éleveurs tentent de montrer patte blanche. Les amateurs de manteaux, écharpes et autres vestes peuvent parfaitement trouver une solution alternative avec les fausses fourrures synthétiques, aujourd’hui plus vraies que nature. De grands créateurs comme Lagerfeld ou Chanel n’ont-ils pas montré la voie en la matière ?