Mais vous vous doutez bien qu'un salarié en présence de parlementaire ne s'aventurerait pas à se livrer à des actes de maltraitance, tout comme devant les inspecteurs vétérinaires. (...) Le contrôle pendant la phase de la tuerie n'est pas suffisant. (...) Le nombre des inspecteurs vétérinaires doit être accru. Ils doivent surveiller la phase post mortem pour assurer la qualité sanitaire des viandes mais ils doivent aussi être plus présents lors de la mise à mort.
(extrait de l'article d'Éric de La Chesnais, Le Figaro)
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