« [...] pour Julien Denormandie, « une vision politique qui repose sur la suppression des sapins ou du foie gras est un très bon exemple » de moment où « l’on sombre dans le détail. » [...] Pour manger de la viande, il faut tuer un animal, et la fin est potentiellement assez tragique. Aujourd’hui on tombe dans une société où l’on va en arriver à dire qu’il faut arrêter de tuer les animaux pour les manger. Cela pose une vraie question d’anthropologie : l’acte de tuer l’animal ne serait plus acceptable. » C’est effectivement le raisonnement des défenseurs de la cause animale, mais pour Julien Denormandie, « il faut assumer que l’on a des traditions. » D’ailleurs, le ministre assume : « Il y aura du foie gras à ma table, à côté d’un beau sapin. »