Mercredi 4 novembre, 250 éleveurs, bouchers, chevillards s’étaient donné rendez-vous dès 9h devant la sous-préfecture d’Alès à l’invitation des organisations syndicales de la filière viande. (...) [Max Roustan] déclarait presque solennel : « (...) j’exige des pouvoirs publics un blanc-seing indispensable à la réouverture. Quand j’obtiendrai le feu vert de la préfecture, j’ouvrirai dans l’instant.
Les représentants de la liste Nouveau Monde aux régionales présents dans le rassemblement rappelaient qu’il faut privilégier tout à la fois «la dignité des animaux mais aussi la filière courte, les bouchers, les producteurs locaux et les salariés de l’abattoir.
(extraits de l'article d'Alain Laurens, La Marseillaise)