Changer la définition française de la pêche artisanale (actuellement celle-ci intègre les bateaux de moins de 25 mètres avec armateur·ice embarqué·e) : elle doit s’aligner sur l’acceptation internationale, c’est-à-dire un·e patron·ne embarqué·e sur un bateau de moins de 12 mètres utilisant des engins « dormants » (immobiles ou en dérive)
Protéger les emplois et le savoir-faire des artisan·es passe impérativement par la mise en place d’un usage exclusif de la bande côtière des 12 milles nautiques aux pêcheur·ses artisan·es (navires de moins de 12 mètres)
Empêcher les chalutiers géants et autres navires-usines de piller les eaux françaises
(extraits du livret mer de la France insoumise)
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