Alors que la pêche en eau profonde est documentée, dénoncée par des ONG et des scientifiques, que des avancées auraient pû être actées, le premier ministre français souhaite des discussions :
« Il semble en revanche que les échanges vifs qui ont eu lieu sur la pêche en eau profonde au cours des deux jours soient parvenus aux oreilles du premier ministre. "Je suis favorable à ce que la France participe activement aux discussions communautaires pour mieux connaître et encadrer ce type de pêche, a indiqué le chef de gouvernement, alors que certains soupçonnent Paris d'avoir plutôt freiné l'avancée du dossier jusque-là. Conserver une autonomie de moyens et d'action pour les organismes chargés de veiller sur l'environnement marin était un souhait de nombre d'acteurs. Il n'a pas été retenu. »
extrait de l'article du Monde
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